Label Chat l’heureux!

Avant d’aller dans un hôtel, s’asseoir dans un bar ou aller dans un restaurant, on devrait toujours demander s’ils ont un chat.

So chic, mon collier, non ? Léger comme un papillon!
So chic, mon collier, non ? Léger comme un papillon!

Car la présence insolite d’un félin atteste toujours du label Chat l’heureux. Et au Bristol, désormais, ce n’est pas un mais deux chats heureux qu’on peut avoir la chance de rencontrer. Sur la banque d’accueil, c’est Fa-Raon que vous verrez souvent étendu de tout son long, c’est son royaume! Qu’il partage depuis peu avec une jeunette qui l’a un peu surpris, lui, qui donnerait des leçons de maintien à toute une classe de petits rats de l’Opéra. Né pour poser sous les objectifs des photographes, il prend plaisir à accorder des interviews, réservant des attitudes moins policées pour ses proches (c-à-d tout le personnel du Bristol!), quand il adopte la position dite de l’ours, adossé mollement contre un mur, les yeux dans le vague. Voire quand il n’est pas iconoclaste en s’installant en plein milieu de la crèche de Noël!

Kléopatre, 4 mois, vient d’arriver, stérilisée comme il se doit (il n’aurait plus manqué que Chat!). P1110863Après avoir été un peu testée par le maître des lieux – quelques feulements, juste de quoi montrer qui est l’aîné – elle se fait sa place avec fantaisie. Elle, son truc, c’est le double salto, pour attraper le plumeau, la formule 1 pour aller taquiner la patte de griffon des tables – mais toujours avec élégance, tout en souplesse, dans le fabuleux désordre propre aux grands chatons.

Le maître des lieux, Fa-raon
Le maître des lieux, Fa-raon

Sous l’oeil mi-agacé mi-amusé de Fa-Raon qui trouve tant d’agitation bien vaine pour attraper un plumeau qu’il sait taquiner, lui, avec économie et dextérité. Fa-Raon n’est pas un fou de sport, il est plutôt le roi de la sieste, sur le comptoir, l’épicentre du Bristol. Et si vous le voyez les yeux fermés, n’allez pas croire qu’il dort: il veille et surveille tout son monde. Du bout des moustaches, l’oreille en coin.

Kléopatre a déjà trouvé ses quartiers privés, à côté du courrier, d’où elle voit et entend tout sans être vue. Et à deux pas de leurs appartements, communs!

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